La situation :
En juillet 2xxx , nous sommes contactés par Monsieur L , dirigeant d’un complexe d’entrainement sportif, qui souhaite créer un second centre pour un montant d’investissement de 2 000 000 d’euros.
Le projet est en gestation depuis plusieurs mois, et les banques interrogées ont refusé le dossier, compte-tenu de la nature de l’investissement, très spécifique, et jugé risqué par l’ensemble des établissements, ceci malgré les résultats satisfaisants du complexe déjà existant.
De plus, le montage juridique retenu affaiblit les garanties possibles pour les prêteurs.
Le diagnostic :
Monsieur S, très bon professionnel dans son métier, n’a pas su présenter sa demande conformément aux attentes d’un partenaire extérieur à ce secteur, et donc, non familier de ce domaine d’activité et de ses particularités.
L’action entreprise :
Rédaction d’un dossier complet de présentation à destination des partenaires financiers, (par définition non spécialistes de ce secteur) mettant en perspective le domaine d’activité et son impact économique, en utilisant notamment, des informations recueillies auprès de la Fédération sportive concernée.
Elaboration de comptes prévisionnels en utilisant et extrapolant les résultats obtenus dans le complexe déjà existant.
Présentation de cette demande à plusieurs partenaires financiers sélectionnés.
La solution apportée :
Accords écrits obtenus de deux partenaires qui interviennent conjointement pour financer le projet.
L’un des deux partenaires, qui avait préalablement refusé le dossier, est revenu sur sa décision, au vu de notre étude de faisabilité.